La nuit n’a pas été très longue… J’ai travaillé tard sur la femme d’ébène, en mettant en place peu à peu les ombres et les lumière sur sa peau aux milles reflets d’ocre et de terre. Un collier de coquillages viendra éclairer l’ensemble comme un rappel du blanc de ses yeux.
En cours de travail, je l’aime déjà.

Le soleil était annoncé pour aujourd’hui et à 6h52 les lumières de Oingt sur la colline d’en face brillaient encore dans un bleu océan…
Belle et douce journée à vous qui lisez ces quelques lignes.

1 Commentaire

  1. céline

    moi aussi 🙂

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