A peine esquissé, c’est déjà beau… Et puis avec le lapin, tu ne risques pas de perdre la notion du temps!!!
Bisous.
Isabelle.
Christiane Bourgeay
sur 8 mars 2015 à 15 h 14 min
Le depart promet de beaux resultats. Bon courage. Bonne journée.
Françoise
sur 8 mars 2015 à 21 h 40 min
Cela me rappelle le texte de Lewis Caroll (…) elle entendit un petit bruit de pas dans le lointain ; vite, elle s’essuya les yeux pour voir ce que c’était. C’était le Lapin Blanc, en grande toilette, tenant d’une main une paire de gants paille, et de l’autre un large éventail. Il accourait tout affairé, marmottant entre ses dents (….) Alice se trouvait si malheureuse, qu’elle était disposée à demander secours au premier venu ; ainsi, quand le Lapin fut près d’elle, elle lui dit d’une voix humble et timide, « Je vous en prie, Monsieur» …
Dans l’histoire il déguerpit. Je préfère le tien qui reste bien au chaud auprès de la belle Alice. Peut être boiront ils le thé ? Grignoteront ils des gâteaux et oublieront ils le temps qui passe ?
Qui sait ?
A peine esquissé, c’est déjà beau… Et puis avec le lapin, tu ne risques pas de perdre la notion du temps!!!
Bisous.
Isabelle.
Le depart promet de beaux resultats. Bon courage. Bonne journée.
Cela me rappelle le texte de Lewis Caroll (…) elle entendit un petit bruit de pas dans le lointain ; vite, elle s’essuya les yeux pour voir ce que c’était. C’était le Lapin Blanc, en grande toilette, tenant d’une main une paire de gants paille, et de l’autre un large éventail. Il accourait tout affairé, marmottant entre ses dents (….) Alice se trouvait si malheureuse, qu’elle était disposée à demander secours au premier venu ; ainsi, quand le Lapin fut près d’elle, elle lui dit d’une voix humble et timide, « Je vous en prie, Monsieur» …
Dans l’histoire il déguerpit. Je préfère le tien qui reste bien au chaud auprès de la belle Alice. Peut être boiront ils le thé ? Grignoteront ils des gâteaux et oublieront ils le temps qui passe ?
Qui sait ?