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Je viens de poser une toile vierge sur mon chevalet. Un grand rectangle blanc qui m’attend. Qui attend que je sois à la hauteur de ce qui prend naissance et se balade dans mon esprit, à la hauteur de ce que j’imagine.
Un grand rectangle blanc. Blanc de blanc. Même pas peur !
Je vais y poser mes inspirations, me plonger ailleurs dans un autre espace temps, un autre monde, celui que j’aime et qui n’appartient qu’à moi. Me retrouver…
A l’aide de pinceaux, de couleurs, raconter une nouvelle histoire… Vite !

2 Commentaires

  1. Françoise

    Se retrouver sur la page blanche de tes rêves endormis. Dans le mode feutré de ton inconscient. Dire les images pour que les mots prennent corps. Dire l’insondable pour que la peur s’efface. Redire les artifices cachés et le parti pris des choses. Peindre la subjectivité du poète et la vision de l’artiste. Renonçant à toi même pour nourrir cette idée folle de décrire ton rêve … comme une idée fixe.

    A toi.

    Françoise

  2. Christophe Renoux

    Rêves endormis et idée fixe… Ce pourrait être un titre de tableau ou de livre, de nouvelles inspirations.
    Tu as complété en quelques mots exquis ce que je tentais d’expliquer là.
    Ce matin, la page n’est plus blanche, et s’est enrichie de papiers, de peinture, et une chinoise est apparue. Délicate, au crayon, juste un trait, un début de rêve endormi, une idée fixe…

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