Marilyn me retrouve enfin. Ou plutôt l’inverse.
J’ai mis des plis sur les draps et oreiller, travaillé la transparence de l’étoffe sur le corps ainsi que sa courbe, éclairci la peau, peint des fleurs sur le tissus grenat, la main ouverte a enfin des articulations et les joues un peu trop de rose, les cheveux ont gagné en blondeur…
Je ne suis pas encore satisfait du visage, et je m’éloigne de ce que j’avais prévu sur le croquis, un monochrome blanc.
A suivre donc…
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