Quelle tristesse du point de vue de l’artiste dans cette citation!
Par contre, elle peut permettre à un public naïf (moi par exemple) d’oser dire simplement “c’est beau” s’il n’a pas la culture artistique qui lui permettrait sans doute de mieux élaborer son expérience de l’oeuvre.
Et pour rebondir sur vos propos Cat, vous y voyez de la tristesse. Peut-être dans cette “infinie solitude”… point n’en est (pour ma part)… car c’est bien d’amour qu’il s’agit ! Et de ressenti. Essayer de palper l’impalpable, saisir l’émotion, les émotions et de se laisser guider par elles. Celles du coeur plus que celles de l’esprit (même si l’un ne va pas sans l’autre aussi). La culture importe peu (même si elle peut s’avérer utile) face à une oeuvre d’art. Se laisser emporter (ou non) et vivre l’art qui est là, juste devant nous. Aimer. Ou ne pas aimer. Vivre.
(enfin celà n’est que mon point de vue bien entendu ^^)
narciss
sur 5 novembre 2010 à 1 h 54 min
Pour rejoindre Lafabe j’ai envie de dire:le coeur a ses raisons que la raison ignore…
Quelle tristesse du point de vue de l’artiste dans cette citation!
Par contre, elle peut permettre à un public naïf (moi par exemple) d’oser dire simplement “c’est beau” s’il n’a pas la culture artistique qui lui permettrait sans doute de mieux élaborer son expérience de l’oeuvre.
Des mots familiers (^^) pour une vérité si juste.
Et pour rebondir sur vos propos Cat, vous y voyez de la tristesse. Peut-être dans cette “infinie solitude”… point n’en est (pour ma part)… car c’est bien d’amour qu’il s’agit ! Et de ressenti. Essayer de palper l’impalpable, saisir l’émotion, les émotions et de se laisser guider par elles. Celles du coeur plus que celles de l’esprit (même si l’un ne va pas sans l’autre aussi). La culture importe peu (même si elle peut s’avérer utile) face à une oeuvre d’art. Se laisser emporter (ou non) et vivre l’art qui est là, juste devant nous. Aimer. Ou ne pas aimer. Vivre.
(enfin celà n’est que mon point de vue bien entendu ^^)
Pour rejoindre Lafabe j’ai envie de dire:le coeur a ses raisons que la raison ignore…