Une version de l’affiche du film “Ishkq in Paris” avec Isabelle Adjani et son regard… extra-terrestre !
Sortie aujourd’hui en Inde.
Réalisé par Prem Raj
Avec Preity Zinta, Rhehan Malliek, Isabelle Adjani, Salman Khan
Inde. 2012. Produit par PZNZ Media Production
Date de sortie en Inde : 2 novembre 2012
Synopsis :
Akash et Ishkq sont deux parfaits inconnus qui se rencontrent dans un train qui fait la liaison entre Rome et Paris. Après avoir passé la nuit ensemble, ils se quittent sans vraiment se dire au revoir, mais avec l’idée que ce n’était qu’une nuit sans lendemain. Ishkq est une jeune femme de caractère, indépendante, qui passe facilement à autre chose mais Akash, malgré cette brève rencontre, finit par tomber amoureux.
Akash et Ishkq se retrouvent finalement à Paris…
Chabadabada…
Dans les contes de jadis, on vendait son âme au Diable pour garder les traits enchanteurs de sa jeunesse… Le Diable a fait du beau travail pour Adjani. Il se dégage en effet quelque chose de diabolique (ou d’extra-terrestre!) du fait qu’elle puisse encore jouer les jeunes femmes à 57 ans. Pourquoi pas?
Mais moi j’aurais tellement aimé voir les rides d’une Adjani vieillissante, une Adjani qui aurait été sans aucun doute tout autant magnifique, séduisante, envoutante qu’au temps de ses 20 ans. Différemment. Cela dit, chacun fait ce qu’il peut pour trouver le bonheur en ce bas monde!
Tu as vu le film Christophe^ ? Il est déjà sorti en France ?
Je t’embrasse.
Très belle journée.
Isabelle.
Le film sort en Inde ce 2 novembre mais je ne sais pas quand chez nous. Je ne pense pas aller le voir.
Et oui, le Diable peut s’appeler Bistouri, et parfois son ami Photoshop peut travailler lui aussi contre la course au temps, comme sur cette affiche. Mais c’est aussi la mode indienne les yeux couleur…couleur… du temps comme dans Peau d’Ane ?
A la sortie de son précedent film le mois dernier, Jean-Marc Lalanne a écrit dans les Inrocks :
“Pour celui qui ne déroge pas à une règle ancienne, fixée par une passion adolescente, de voir absolument tous ses films, la filmographie d’Isabelle Adjani est un chemin de croix dont le récent “David et madame Hansen” n’est pas la station la moins douloureuse….Il y a le visage d’Isabelle Adjani, devenu comme un énorme trou de mémoire, une amnésie faciale. Aucune trace du temps n’accroche désormais sur cette surface en latex, simplement entaillée de deux larges fentes où s’agitent deux pupilles bleues affolées (puisque désormais il ne lui reste plus que ses yeux pour jouer)”
C’est cruel mais peut-être qu’il y a un peu de vérité là dedans.
Article complet : http://www.lesinrocks.com/2012/09/13/cinema/david-et-madame-hansen-adjani-sans-visage-11302099/