Charles et Pauline s’aimaient.
Ils furent heureux, firent de nombreux voyages et créèrent un jardin fantastique en hommage à leur amour. Ils le baptisèrent le ” jardin de nous deux”.
Ils ne sont plus là aujourd’hui, mais on peut encore contempler les mosquées, palais vénitiens, châteaux moyenâgeux, cloîtres gothiques, colonnades et minarets, de nombreuses architectures découvertes durant leurs voyages à travers le monde.
Charles qui était traceur de gaines et soutiens-gorge s’est fait bâtisseur, s’est découvert une passion pour la sculpture, et est devenu paysagiste. De la femme à la nature…
“Tout ce que vous voyez, disait-il devant ses constructions en pierres dorées, est le fruit de souvenirs de vacances passées avec ma femme aux quatre coins du monde. »
“Le jardin de nous deux”, ou comment sublimer un amour en une construction solide et éternelle…
A l’entrée de la maison, la boîte aux lettres et l’interphone.
Les jardins seront ouverts exceptionnellement pour les journées du Patrimoine, uniquement le dimanche 19, de 10 heures à 12 heures, et de 15 heures à 17 heures.
Civrieux d’Azergues (Rhône) 51, chemin de Palayer (l’entrée de la maison se trouve chemin du Mazard)
Oh ! Merci pour cette très belle info !!!
Un rendez-vous à ne pas manquer…
Vite, vite, vite, noter… ^^
Et dimanche, aller !
Un endroit qui parait Maqique !Merci de cette info.
je ne connaissai pas ce lieu??? pourtant j’en ai visité plein!!! et j’aime l’art brut… alors a bientôt pour une visite….même si c’est un peu loin de chez moi.
Facteur Cheval II : réincarnation.
J’aime votre note “amoureuse”.
Je me souviens que Charles Billy marchait au sentiment même si c’était avec pudeur.
Cela m’étonnerait pas que la photo avec l’interphone provienne de l’album que j’ai mis sur mon blogue : http://animulavagula.hautetfort.com/album/charles_billy_le_jardin_de_nous_deux/
Merci.
Merci Ani pour le lien sur ce diaporama, fort utile ! Je ne suis hélas jamais entré dans ce lieu très tentant, plein de poésie et de rêve. Un jour…
Je viens de changer la photo de l’interphone qui était là en attente (c’était à vous, oui !) par celle que j’ai faite moi-même.