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Le kitch a sa propre dualité, bien plus tranchante qu’on imagine: derrière l’imagerie de la famille parfaite, les couples de beaux parents et enfants (un garçon et une fille pour la perfection totale), j’imagine toujours cette époque pas si joyeuse dans le fond, où la liberté était broyée par le masque sociale… Même si à titre personnel j’adore le kitch!
Le message de Christophe Genin aux lecteurs du Prix lycéen de la philosophie:
Qualifier un objet, une œuvre, un décor de « kitsch » relevait aux XIXe et XXe siècles d’un jugement de valeur dépréciatif. La vulgarité tape à l’œil du kitsch s’opposait à une distinction toute aristocratique. Pourtant aujourd’hui le kitsch semble festif, convivial. N’est-il donc qu’une affaire de goût changeant? Comment se produit une telle inversion de valeur, la « camelote » d’hier devenant un style reconnu se jouant des genres, une sorte de paradis artificiel dénoncé par les uns, vanté par les autres ?
Kitsch dans l’âme essaie de comprendre de quoi le kitsch est le symptôme : moins celui d’une relativité des valeurs esthétiques et éthiques que d’une crise des normes et de leur fondement.
Je vous invite à lire “Kitch dans l’âme”de Christophe Genin, ouvrage sélectionné pour le Prix lycéen de la philosophie 2015.
Merci Catherine pour ce message intéressant. Oui, comment passe-t-on de la vulgarité tape à l’œil à l’objet de valeur ? Toute une histoire de l’Art, de média et de détournement…