jeanne3

18h55. Jeanne vient de fermer ses yeux, définitivement…
Une âme enfin apaisée rejoint les anges.

5 Commentaires

  1. Françoise

    Infinie tristesse pour toi et les tiens.
    Mon amour t’enveloppe et t’apaise dans ce moment de séparation douloureuse.
    Jeanne a trouvé la paix. Je suis là pour la tristesse de ton coeur.

    Je pense fort à toi

    Silence des anges.

    F.

  2. narciss

    Douce pensée pour toi et les tiens,
    tendre pensée pour Jeanne…

  3. Dominik

    Magnifiques portraits. Ton interprétation illustrée n’était pas uniquement sublimée par l’amour que tu lui portes. Elle était vraiment d’une très grande beauté.

    Une lueur s’est éteinte… mais nous gagnerons pour l’éternité une étoile de plus dans le ciel.
    Toute mon amitié à toi et tes proches.

  4. LAFABE

    Les anges ont repris Jeanne sous leurs tendres ailes.

    Je t’adresse toutes mes plus sincères pensées, mon émotion et ma profonde amitié pour traverser ce départ.

    Et puis ces mots de Charles Péguy, chers à mon coeur…

    La mort n’est rien,
    je suis seulement passé, dans la pièce à côté.

    Je suis moi. Vous êtes vous.
    Ce que j’étais pour vous, je le suis toujours.

    Donnez-moi le nom que vous m’avez toujours donné,
    parlez-moi comme vous l’avez toujours fait.
    N’employez pas un ton différent,
    ne prenez pas un air solennel ou triste.
    Continuez à rire de ce qui nous faisait rire ensemble.

    Priez, souriez,
    pensez à moi,
    priez pour moi.

    Que mon nom soit prononcé à la maison
    comme il l’a toujours été,
    sans emphase d’aucune sorte,
    sans une trace d’ombre.

    La vie signifie tout ce qu’elle a toujours été.
    Le fil n’est pas coupé.
    Pourquoi serais-je hors de vos pensées,
    simplement parce que je suis hors de votre vue ?
    Je ne suis pas loin, juste de l’autre côté du chemin.

    Je t’embrasse fort.

  5. Boris & Céline

    “La mort c’est comme un bateau qui s’éloigne à l’horizon.Il y a un moment où il disparait. Mais ce n’est pas parce qu’on ne le voit plus qu’il n’existe plus.”.
    Tu m’as fait lire ces mots dans un livre de M.de Hennezel il y a deux ans, quand j’ai traversé la même période douloureuse que tu vis aujourd’hui.
    Je te les confie en retour.
    Repose un peu de ta peine sur nos épaules.
    Nous t’embrassons avec tendresse

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